Mont ORFORD – Pic de l’Ours, version automne 2008

Au fil des ans, le Pic de l’Ours du Mont Orford est devenu un classique, pour nous.

Cette année, nos amis Liette et Vincent nous accompagnent. Nous quittons la maison à 7:00. J’ai l’impression que nous ne serons pas seuls sur le sentier, aujourd’hui. Cependant, à notre arrivée, tout est encore relativement calme. Après un court arrêt au kiosque de l’accueil Le Cerisier, nous nous rendons centre de service de la Grande Halte (Camping Stukely) à environ 4 km de l’entrée.

Le Pic de l’Ours est une balade de 9,6 km. (aller retour) Dans le guide du parc on indique un temps de rando de 7 heures. Bien entendu, tout ça est relatif. Un athlète de 20 ans et un retraité, ça n’avance pas à la même vitesse! Par rapport à d’autres monts où la pente est constante, on retrouve ici, des plateaux et des petites descentes. Cela rend la rando agréable.

Nous localisons facilement l’entrée du Sentier des Crêtes. Nous arrivons assez rapidement au premier point d’observation. Vue magnifique sur les étangs les Cerisiers et sur les montagnes avoisinantes, qui sont déjà très colorées. Puis, c’est le Pic de la Roche Fendue qui nous accueille et nous offre une première vue spectaculaire.

Après un court repos, descente dans le petit vallon qui sépare les deux pics. Puis remontée et arrivée au Pic de l’Ours. Nous lunchons confortablement assis sur un gros rocher plat. Vue magnifique sur le lac Stukely et sur le cap rocheux de la Roche Fendue, où il commence à y avoir beaucoup d’activités humaines! Sur le sommet, Liette rencontre une copine de travail.

C’est l’heure de la descente. Nous arrivons au stationnement et constatons que mes craintes du matin étaient fondées. Il y des voitures stationnées partout, même sur les chemins d’accès. La rando a été super. Nous sommes bien satisfaits. Un 12 octobre, splendide. Pas de moustique, pas de vent, un beau soleil, un belle chaleur.

C’est l’heure du retour. En passant devant le Mont Orford, nous n’en revenons pas de voir autant de gens et de voitures. Tous les stationnements débordent.